µTracer : kit de traceur de courbes pour tubes [2]
J’ai utilisé un adaptateur made in China de 5 €, dont je savais qu’il fonctionnait parfaitement. Il est compatible avec les produits FTDI et utilise un port virtuel. Lorsqu’elle est lancée pour la première fois, l’interface du µTracer crée un fichier de calibration ; cela indique que le logiciel fonctionne correctement et que la bonne structure de fichier est installée. Les valeurs de calibration n’ont pas d’importance pour le moment. Le logiciel teste ensuite le système, jusqu’au connecteur RS‑232 auquel on connectera le µTracer. Le test consiste en une série de commandes Ping, avec contrôle de l’écho par un outil de débogage de l’interface. En connectant ensemble les broches TX et RX côté µTracer, on ferme la boucle de communication et on peut vérifier la transmission correcte de signaux numériques. Pour les données réelles, il faudra encore patienter...
Il ne m’a fallu qu’un quart d’heure pour mener à bien cette étape, sans message d’erreur runtime error ‘8020’ lié à la liaison USB-RS‑232.
Fort de mon expérience et de mon support de circuit imprimé, j’ai voulu utiliser une méthode de montage qui a fait ses preuves ; on monte d’abord tous les composants les plus bas, puis les plus hauts, pour finir par les plus gros et ceux dont la forme est irrégulière. Avec le support, c’est très facile : on insère les composants, on les recouvre d'une mousse assez souple pour en épouser les contours, on rabat le couvercle, on retourne l’ensemble, on soude, et on coupe les pattes.
J’avais commencé ainsi, puis je me suis aperçu que la notice d’assemblage préconisait un montage pas à pas quelque peu différent. Chaque sous-ensemble du circuit est divisé en blocs fonctionnels, et chaque bloc est monté et testé avant de passer au suivant.
Cette méthode est bien entendu la bonne, elle réduit le risque d'avoir à passer des heures à rechercher une erreur. Une fois chaque partie du circuit testée séparément, l’ensemble fonctionnera probablement aussi.
Les deux premiers blocs ...
... à monter sur le circuit imprimé, dont la finition est impeccable, sont l’alimentation (+ 5 et 15 V) et l’interface RS‑232. Cela m’a pris un peu plus de temps que prévu, mais pas à cause du kit : j’ai aussi profité du beau temps dehors, j’ai pris des photos du montage, et j’ai rédigé l’article sans me presser !
Il ne m’a fallu qu’un quart d’heure pour mener à bien cette étape, sans message d’erreur runtime error ‘8020’ lié à la liaison USB-RS‑232.
Le (plus) long chemin vers la maison
Fort de mon expérience et de mon support de circuit imprimé, j’ai voulu utiliser une méthode de montage qui a fait ses preuves ; on monte d’abord tous les composants les plus bas, puis les plus hauts, pour finir par les plus gros et ceux dont la forme est irrégulière. Avec le support, c’est très facile : on insère les composants, on les recouvre d'une mousse assez souple pour en épouser les contours, on rabat le couvercle, on retourne l’ensemble, on soude, et on coupe les pattes.
J’avais commencé ainsi, puis je me suis aperçu que la notice d’assemblage préconisait un montage pas à pas quelque peu différent. Chaque sous-ensemble du circuit est divisé en blocs fonctionnels, et chaque bloc est monté et testé avant de passer au suivant.
Cette méthode est bien entendu la bonne, elle réduit le risque d'avoir à passer des heures à rechercher une erreur. Une fois chaque partie du circuit testée séparément, l’ensemble fonctionnera probablement aussi.
Les deux premiers blocs ...
... à monter sur le circuit imprimé, dont la finition est impeccable, sont l’alimentation (+ 5 et 15 V) et l’interface RS‑232. Cela m’a pris un peu plus de temps que prévu, mais pas à cause du kit : j’ai aussi profité du beau temps dehors, j’ai pris des photos du montage, et j’ai rédigé l’article sans me presser !
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