Station de soudage Fnirsi DWS-200 (Essai)
04 décembre 2024
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La DWS-200 est une station de soudage récemment lancée par Fnirsi. Vous connaissez la marque pour ses fers à souder portables ou ses testeurs USB polyvalents, which are great products. Now, Fnirsi is stepping into the full-size soldering station market with the DWS-200, their first tool in this category. The manufacturer highlights the large color screen, the “intelligent” temperature control as well as a high power output of 200 W. It includes multiple preset temperature setpoints, and is compatible with two types of soldering irons: the F245 and F210 handles. In this review, I’ll focus on the F245 version. Let’s take a closer look!
Dans l'emballage, outre la station principale et le support du fer à souder, vous trouverez un fer à souder F245, six pannes, un manuel papier, un câble d'alimentation et quelques accessoires. Ceux-ci comprennent deux bras flexibles avec pinces crocodiles, destinés à être utilisés comme « 3ème main » pendant le soudage. Il y a également un petit cordon à connecteurs banane, prévu pour relier la station au support afin de que la station déclenche la mise en veille lorsque le fer est au repos. Enfin, une tige d'acier munie d'un clip est incluse pour soulever le câble du fer au-dessus de l’établi, dans le but de réduire le frottement du câble.
Dans le cas de la DWS-200, le design du fer à souder et de ses cartouches (ainsi que leurs noms et leurs couleurs) sont fortement inspirés des stations haut de gamme de JBC. Bien que des questions d’ordre éthique puissent se poser à ce niveau d'imitation, je me concentrerai ici sur les aspects techniques et les avantages que le système offre aux utilisateurs, tels que la puissance de chauffe élevée et le contrôle performant de la température.
Le fabricant annonce une puissance de 200 W pour la DWS-200, mais il s'agit vraisemblablement de la puissance de son alimentation interne. Avec un élément chauffant d’une résistance d'environ 2,5 ohms, la cartouche pourrait théoriquement atteindre 230 W sous 24 V CC, mais il s’agit d'une valeur de crête plutôt que d'une puissance de sortie continue. La panne surchaufferait probablement très rapidement jusqu’à sa destruction à cette puissance. La puissance de sortie réelle sera mesurée plus loin. En ce qui concerne les cartouches, la DWS-200 pourrait être compatible avec les pannes JBC officielles, ce qui offrirait encore plus de flexibilité aux utilisateurs. Si vous faites cette expérience, n'hésitez pas à nous en faire part en commentaire. !
Le support du fer à souder est robuste. Point intéressant, la partie où l’on insère le fer est montée sur un pivot, ce qui vous permet de choisir l'angle qui vous convient le mieux. En revanche, le trou qui reçoit le fer à souder est légèrement trop petit, ce qui rend l'insertion du fer dans son support un peu difficile, avec parfois un bruit de frottement métal sur métal lors de l'insertion et de l'extraction du fer. Le support comprend une tige métallique terminée par un clip, destinée à soulever le câble de l'établi et à réduire les frottements. L'idée est intéressante, mais le câble et la tige sont tous deux un peu trop courts pour qu’une réelle différence soit sensible. Le fer à souder est léger (36 grammes) et très confortable, et son câble est fin et en silicone très souple, ce qui le rend très agréable à utiliser.
Par ailleurs, deux bras flexibles munis de pinces crocodiles sont fournis, ce qui permet de les utiliser comme troisième main ou comme support de circuits imprimés. Pour ce faire, il faut retirer les capuchons en caoutchouc situés sur le côté de la station de base et insérer les extrémités des bras. Cette approche implique que la station soit l'élément central de votre table de travail, juste à côté de vos mains. Pour ma part, je préfère garder la station à l'écart, sur le côté de l'établi. Les bras flexibles ne m’ont donc pas été très utiles. Enfin, la partie principale de la station et le support de fer sont tous deux dotés d'inserts en silicone dans la partie supérieure, ce qui permet de ranger un total de 5 pannes de la série 245 et 6 pannes de la série 210.
Dès que le fer est retiré de son support, il commence à chauffer à sa température de travail. Les trois boutons au centre, entourés de jaune, sont les commandes principales. Les flèches gauche et droite permettent de régler la température par incréments de 5°C (l’incrément est personnalisable). Le bouton central "mode/OK" permet de passer d'un mode d'affichage à l'autre : un affichage principal centré sur la température, un affichage mixte montrant la température et un graphique de température, et un affichage "oscilloscope" montrant les courbes de température et de puissance.
Lors de la première utilisation, après avoir réglé le fer à 350 °C, j'ai remarqué que la chaleur fournie était insuffisante, avec des résultats de soudure médiocres. Une vérification rapide a révélé une erreur d'étalonnage ; bien que l'écran affiche 350°C, la température réelle n'était que de 300°C, ce qui explique les difficultés rencontrées. Heureusement, le menu "calibration" permet d'ajuster la température. La température peut être corrigée en trois points (150°C, 250°C et 350°C) à l'aide des boutons gauche et droit. Pour cela, il est recommandé d'utiliser un thermomètre spécial fers à souder pour un réglage précis. Après l'étalonnage, le fer a fonctionné de manière fiable et a donné des résultats satisfaisants pour diverses tâches.
La station émet un bip à chaque pression sur un bouton, à chaque fois que le fer est placé sur son support et à chaque fois que la température cible est atteinte. Cela fait beaucoup de bips ! Heureusement, le volume du signal sonore peut être réglé ou désactivé dans le menu des paramètres. Ce menu, auquel on accède en appuyant sur le bouton droit "pignon", comprend d’abord des options de réglage de la température, pour ajuster l'incrément de température et configurer le verrouillage. Il existe également une page de menu pour le mode veille (températures et durées) et trois préréglages de température personnalisables. La page “calibration” (étalonnage) permet un réglage en trois points. Les “system settings” (paramètres système) permettent de régler la luminosité de l'écran, de contrôler le volume du buzzer et de sélectionner l’unité de température. Enfin, il est possible de changer la langue entre le chinois et l'anglais, et de faire une réinitialisation d'usine pour rétablir les paramètres par défaut. Le bouton gauche sert de bouton de retour pour naviguer dans le menu et permet de basculer rapidement entre les trois préréglages en mode soudage.
Vérifions la mise à la terre de la DWS-200. À ma grande surprise, la panne est complètement isolée de la terre. Lors du démontage, il s’avère que le circuit imprimé de l'alimentation à découpage comprend une empreinte CMS destinée à relier le pôle négatif de la sortie 24 V à la terre, mais cette connexion n'a pas été réalisée. Vous avez donc la possibilité de laisser tel quel ou de faire un pontage avec de la soudure pour connecter la panne du fer à la terre si vous le souhaitez.
Pour évaluer la puissance de sortie, j'ai mesuré le courant sur le rail 24 V dans différentes conditions d'utilisation. Dans le test le plus extrême, où la panne du fer a été immergée dans un verre d'eau pour forcer une dissipation maximale, le courant atteint 6,8 A, ce qui équivaut à environ 160 W. Les cartouches de type 245 avec leur élément chauffant de 2,5 Ω peuvent en principe dissiper davantage, mais pas de manière continue. Avec ce type de cartouche à thermocouple, le circuit de régulation doit généralement interrompre périodiquement la chauffe afin de mesurer la température avec précision.
Dans l'ensemble, la DWS-200 de Fnirsi est une station de soudage puissante et rapide au design soigné. Bien qu'elle présente quelques inconvénients, elle reste un choix intéressant pour les fans de la marque Fnirsi et ceux qui préfèrent les appareils dotés d'un grand écran. Si la flexibilité de connecter deux types de fers à souder différents (avec le fer de type 210 en option) ou d'accéder à la vaste gamme de pannes JBC (ou compatibles) vous séduit, la DWS-200 mérite d'être considérée.
Unboxing the DWS-200
La station de soudage DWS-200 est livrée bien protégée dans une boîte en carton assez solide. Un guide de démarrage rapide est imprimé directement sur cette boîte, indiquant les premières étapes de l'installation, à savoir la connexion du fer à la station principale et le branchement de la station au secteur. En ouvrant la boîte, on constate que la station et le support de fer sont protégés par des inserts en mousse afin d'éviter tout dommage pendant le transport. L'emballage est bien fait et le déballage est agréable. Le fer et les divers accessoires sont placés séparément dans une petite boîte en carton.Dans l'emballage, outre la station principale et le support du fer à souder, vous trouverez un fer à souder F245, six pannes, un manuel papier, un câble d'alimentation et quelques accessoires. Ceux-ci comprennent deux bras flexibles avec pinces crocodiles, destinés à être utilisés comme « 3ème main » pendant le soudage. Il y a également un petit cordon à connecteurs banane, prévu pour relier la station au support afin de que la station déclenche la mise en veille lorsque le fer est au repos. Enfin, une tige d'acier munie d'un clip est incluse pour soulever le câble du fer au-dessus de l’établi, dans le but de réduire le frottement du câble.
Système à cartouche
Comme tous les autres outils de soudage que j'ai essayés pour Elektor, la DWS-200 ne fait pas exception à la nouvelle tendance et utilise le système à cartouche. L'élément chauffant, le capteur de température et la panne sont combinés en une seule unité, appelée cartouche. Cette architecture permet un contrôle plus précis de la température et un transfert de chaleur plus performant qu’avec le système traditionnel où la panne est séparée de l'élément chauffant. Cela permet au fer de réagir rapidement.Dans le cas de la DWS-200, le design du fer à souder et de ses cartouches (ainsi que leurs noms et leurs couleurs) sont fortement inspirés des stations haut de gamme de JBC. Bien que des questions d’ordre éthique puissent se poser à ce niveau d'imitation, je me concentrerai ici sur les aspects techniques et les avantages que le système offre aux utilisateurs, tels que la puissance de chauffe élevée et le contrôle performant de la température.
Le fabricant annonce une puissance de 200 W pour la DWS-200, mais il s'agit vraisemblablement de la puissance de son alimentation interne. Avec un élément chauffant d’une résistance d'environ 2,5 ohms, la cartouche pourrait théoriquement atteindre 230 W sous 24 V CC, mais il s’agit d'une valeur de crête plutôt que d'une puissance de sortie continue. La panne surchaufferait probablement très rapidement jusqu’à sa destruction à cette puissance. La puissance de sortie réelle sera mesurée plus loin. En ce qui concerne les cartouches, la DWS-200 pourrait être compatible avec les pannes JBC officielles, ce qui offrirait encore plus de flexibilité aux utilisateurs. Si vous faites cette expérience, n'hésitez pas à nous en faire part en commentaire. !
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La Fnirsi DWS-200 a un design moderne et attractif. La station mesure 160 x 95 x 105 mm et intègre un écran LCD de 2,8 pouces, qui offre un affichage clair, bien que son revêtement en plexiglas brillant ait tendance à prendre facilement les traces de doigts. La station de base est assez légère (480 grammes), grâce à l'utilisation d'une alimentation à découpage au lieu d'un transformateur. Cela permet également à la station d'être compatible avec toutes les tensions secteur du monde. .Le support du fer à souder est robuste. Point intéressant, la partie où l’on insère le fer est montée sur un pivot, ce qui vous permet de choisir l'angle qui vous convient le mieux. En revanche, le trou qui reçoit le fer à souder est légèrement trop petit, ce qui rend l'insertion du fer dans son support un peu difficile, avec parfois un bruit de frottement métal sur métal lors de l'insertion et de l'extraction du fer. Le support comprend une tige métallique terminée par un clip, destinée à soulever le câble de l'établi et à réduire les frottements. L'idée est intéressante, mais le câble et la tige sont tous deux un peu trop courts pour qu’une réelle différence soit sensible. Le fer à souder est léger (36 grammes) et très confortable, et son câble est fin et en silicone très souple, ce qui le rend très agréable à utiliser.
Par ailleurs, deux bras flexibles munis de pinces crocodiles sont fournis, ce qui permet de les utiliser comme troisième main ou comme support de circuits imprimés. Pour ce faire, il faut retirer les capuchons en caoutchouc situés sur le côté de la station de base et insérer les extrémités des bras. Cette approche implique que la station soit l'élément central de votre table de travail, juste à côté de vos mains. Pour ma part, je préfère garder la station à l'écart, sur le côté de l'établi. Les bras flexibles ne m’ont donc pas été très utiles. Enfin, la partie principale de la station et le support de fer sont tous deux dotés d'inserts en silicone dans la partie supérieure, ce qui permet de ranger un total de 5 pannes de la série 245 et 6 pannes de la série 210.
Utilisation de la DWS-200
Lorsque l’on branche la station et qu’on actionne le bouton marche/arrêt situé à l'arrière, l'appareil est mis sous tension et le grand bouton tactile situé à l'avant s'allume en bleu. En appuyant sur ce bouton, l'appareil démarre et affiche d'abord un écran d'accueil Fnirsi, suivi d'un écran de veille. En mode veille, le fer chauffe à une température de veille (par défaut de 100°C, configurable). Un compte à rebours s'affiche à l'écran pour indiquer le temps restant avant l'arrêt automatique (fixé à 30 minutes par défaut, mais également réglable).Dès que le fer est retiré de son support, il commence à chauffer à sa température de travail. Les trois boutons au centre, entourés de jaune, sont les commandes principales. Les flèches gauche et droite permettent de régler la température par incréments de 5°C (l’incrément est personnalisable). Le bouton central "mode/OK" permet de passer d'un mode d'affichage à l'autre : un affichage principal centré sur la température, un affichage mixte montrant la température et un graphique de température, et un affichage "oscilloscope" montrant les courbes de température et de puissance.
Lors de la première utilisation, après avoir réglé le fer à 350 °C, j'ai remarqué que la chaleur fournie était insuffisante, avec des résultats de soudure médiocres. Une vérification rapide a révélé une erreur d'étalonnage ; bien que l'écran affiche 350°C, la température réelle n'était que de 300°C, ce qui explique les difficultés rencontrées. Heureusement, le menu "calibration" permet d'ajuster la température. La température peut être corrigée en trois points (150°C, 250°C et 350°C) à l'aide des boutons gauche et droit. Pour cela, il est recommandé d'utiliser un thermomètre spécial fers à souder pour un réglage précis. Après l'étalonnage, le fer a fonctionné de manière fiable et a donné des résultats satisfaisants pour diverses tâches.
La station émet un bip à chaque pression sur un bouton, à chaque fois que le fer est placé sur son support et à chaque fois que la température cible est atteinte. Cela fait beaucoup de bips ! Heureusement, le volume du signal sonore peut être réglé ou désactivé dans le menu des paramètres. Ce menu, auquel on accède en appuyant sur le bouton droit "pignon", comprend d’abord des options de réglage de la température, pour ajuster l'incrément de température et configurer le verrouillage. Il existe également une page de menu pour le mode veille (températures et durées) et trois préréglages de température personnalisables. La page “calibration” (étalonnage) permet un réglage en trois points. Les “system settings” (paramètres système) permettent de régler la luminosité de l'écran, de contrôler le volume du buzzer et de sélectionner l’unité de température. Enfin, il est possible de changer la langue entre le chinois et l'anglais, et de faire une réinitialisation d'usine pour rétablir les paramètres par défaut. Le bouton gauche sert de bouton de retour pour naviguer dans le menu et permet de basculer rapidement entre les trois préréglages en mode soudage.
Les pieds sur terre?
En général, la pointe d'un fer à souder est mise à la terre (c'est-à-dire connectée au conducteur de protection du câble d'alimentation) aussi directement que possible, avec une valeur proche de 0 ohm. Bien qu'il n'y ait pas de règle absolue et qu'il existe des fers totalement isolés, la plupart des fers à souder modernes suivent cette tendance. La mise à la terre de la panne a deux objectifs : elle empêche tout potentiel électrique de s'accumuler sur la panne, protégeant ainsi les composants sensibles tels que les petits MOSFET et les circuits fragiles, et elle offre également une sécurité supplémentaire. Bien qu'il soit toujours fortement recommandé d'éteindre et de débrancher complètement tout appareil que vous soudez, une panne mise à la terre est en principe plus sûre qu'une panne isolée. Si vous soudez accidentellement un circuit sous tension présentant une tension dangereuse, le contact avec la panne mise à la terre déclenchera instantanément le disjoncteur différentiel, vous protégeant ainsi d'un choc électrique. Avec une panne isolée, en revanche, vous ne remarquerez pas ce contact dangereux et risquerez un choc électrique en amenant la soudure avec votre autre main.Vérifions la mise à la terre de la DWS-200. À ma grande surprise, la panne est complètement isolée de la terre. Lors du démontage, il s’avère que le circuit imprimé de l'alimentation à découpage comprend une empreinte CMS destinée à relier le pôle négatif de la sortie 24 V à la terre, mais cette connexion n'a pas été réalisée. Vous avez donc la possibilité de laisser tel quel ou de faire un pontage avec de la soudure pour connecter la panne du fer à la terre si vous le souhaitez.
Tests de performance
Voici la courbe de montée en température de la DWS-200 jusqu'à un point de consigne de 350°C. La station chauffe assez rapidement, passant de 100°C à 300°C en 3 secondes environ, chiffre mis en avant par Fnirsi dans les spécifications. La régulation PID évite tout dépassement : la puissance et la vitesse de chauffe diminuent progressivement à mesure que le fer s'approche de la température de consigne.Construction interne et puissance de sortie
A l’intérieur, la station se compose d'une alimentation à découpage 24 V d’apparence standard (similaire à celles utilisées dans les stations de soudage de type T12 par exemple) ainsi que d'une circuit imprimé principal qui gère la régulation de la température, l'affichage et les boutons. La carte principale contient un microcontrôleur AT32F415 du fabricant chinois Artery. Deux autres petits circuits imprimés sont utilisés pour les LEDs de la face avant et le bouton d'alimentation lumineux. Le câblage est soigné, et si le rétroéclairage bleu du bouton ou les animations des LED de la face avant vous déconcentrent, il serait possible de déconnecter les fils correspondant aux LED.Pour évaluer la puissance de sortie, j'ai mesuré le courant sur le rail 24 V dans différentes conditions d'utilisation. Dans le test le plus extrême, où la panne du fer a été immergée dans un verre d'eau pour forcer une dissipation maximale, le courant atteint 6,8 A, ce qui équivaut à environ 160 W. Les cartouches de type 245 avec leur élément chauffant de 2,5 Ω peuvent en principe dissiper davantage, mais pas de manière continue. Avec ce type de cartouche à thermocouple, le circuit de régulation doit généralement interrompre périodiquement la chauffe afin de mesurer la température avec précision.
Dans l'ensemble, la DWS-200 de Fnirsi est une station de soudage puissante et rapide au design soigné. Bien qu'elle présente quelques inconvénients, elle reste un choix intéressant pour les fans de la marque Fnirsi et ceux qui préfèrent les appareils dotés d'un grand écran. Si la flexibilité de connecter deux types de fers à souder différents (avec le fer de type 210 en option) ou d'accéder à la vaste gamme de pannes JBC (ou compatibles) vous séduit, la DWS-200 mérite d'être considérée.
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