Banc d'essai : carte de développement FreeSoC2 PSoC®
Pour voir quels composants sont utilisés pour produire le signal, il suffit d’ouvrir le fichier .cysch ; le signal affiché à l’oscilloscope n’a pas d’importance, il ne s’agit que d’un exemple. Un clic droit sur un des composants permet de sélectionner Configure et de voir ses propriétés :
On peut alors modifier celles‑ci et « rebâtir » le circuit pour un fonctionnement différent :
Les noms attribués aux nœuds du circuit peuvent être référencés dans le programme en C créé dans l’EDI. On peut également concevoir une solution matérielle en configurant les périphériques pour une fonction donnée, sans la moindre intervention logicielle, si ce n’est pour l’initialisation.
La carte FreeSoC2 PSoC® 5LP est disponible dans l’e‑choppe d'Elektor, et en promo !
On peut alors modifier celles‑ci et « rebâtir » le circuit pour un fonctionnement différent :
Les noms attribués aux nœuds du circuit peuvent être référencés dans le programme en C créé dans l’EDI. On peut également concevoir une solution matérielle en configurant les périphériques pour une fonction donnée, sans la moindre intervention logicielle, si ce n’est pour l’initialisation.
En résumé…
Cette carte a un potentiel énorme ; n'ayant pu passer en revue que les fonctions de base, nous sommes impatients d’approfondir ! Se contenter des applications de l’Arduino sur cette carte serait un gâchis ; ce serait faire bien peu de cas des capacités en périphériques et de leurs possibilités de configuration.La carte FreeSoC2 PSoC® 5LP est disponible dans l’e‑choppe d'Elektor, et en promo !
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