Un tout-terrain électrique qui swingue
18 janvier 2016
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Un tout-terrain électrique qui swingue et se joue de la force centrifuge !
Depuis des mois, j’ai gardé en réserve le lien vers cet engin étonnant, avec le projet d’en faire une nouvelle pour Elektor. Je repoussais l'échéance en me disant que c’est plutôt d’électronique qu’on est censé parler ici.
En fait, cette invention incroyable que vous connaissez peut-être déjà tant sa notoriété a explosé, possède un tel potentiel d’enthousiasmer qu’il faudrait l’admirer tous les lundis matin, question de se redonner du tonus et du plaisir à l’ouvrage.
C'est lundi, c'est parti ! Regardez la vidéo.
Le principe du Swincar associe donc l’équilibre pendulaire longitudinal et l’inclinaison de quatre roues motrices indépendantes sur bras oscillant. Insecte ou plutôt araignée à roues pour les uns, danseur-rampeur-grimpeur pour les autres, ce passe-partout imaginé, conçu et réalisé dans la Drôme ne laisse personne indifférent.
Quelle que soient la configuration du terrain sur lequel il évolue et son inclinaison, l’assiette de sa nacelle articulée reste droite et l’engin roule droit. Impossible ? Comme vous le savez, impossible n’est pas français !
La vitesse des quatre roues reste la même en virage ou en pente, c’est la puissance (600 W par moteur) utilisée qui s’adapte à la contrainte subie. Leur alimentation est assurée par deux batteries de 1 kWh (20 A/48 V). Le prototype actuel (en inox) pèse 150 kg, peut atteindre 45 km/h (25 km/h pour la version homologuée) et son autonomie sur le terrain serait de 25 à 30 km (ou le double sur route). L'utilisation d'alliages plus légers est envisagée, ce qui augmentera le rayon d’action. Il faut mentionner aussi la présence d'un frein moteur (utile en descente) et même de la récupération d'énergie électrique au freinage.
Pour en savoir plus, on lira ce compte-rendu détaillé
Depuis des mois, j’ai gardé en réserve le lien vers cet engin étonnant, avec le projet d’en faire une nouvelle pour Elektor. Je repoussais l'échéance en me disant que c’est plutôt d’électronique qu’on est censé parler ici.
En fait, cette invention incroyable que vous connaissez peut-être déjà tant sa notoriété a explosé, possède un tel potentiel d’enthousiasmer qu’il faudrait l’admirer tous les lundis matin, question de se redonner du tonus et du plaisir à l’ouvrage.
C'est lundi, c'est parti ! Regardez la vidéo.
Le principe du Swincar associe donc l’équilibre pendulaire longitudinal et l’inclinaison de quatre roues motrices indépendantes sur bras oscillant. Insecte ou plutôt araignée à roues pour les uns, danseur-rampeur-grimpeur pour les autres, ce passe-partout imaginé, conçu et réalisé dans la Drôme ne laisse personne indifférent.
Quelle que soient la configuration du terrain sur lequel il évolue et son inclinaison, l’assiette de sa nacelle articulée reste droite et l’engin roule droit. Impossible ? Comme vous le savez, impossible n’est pas français !
La vitesse des quatre roues reste la même en virage ou en pente, c’est la puissance (600 W par moteur) utilisée qui s’adapte à la contrainte subie. Leur alimentation est assurée par deux batteries de 1 kWh (20 A/48 V). Le prototype actuel (en inox) pèse 150 kg, peut atteindre 45 km/h (25 km/h pour la version homologuée) et son autonomie sur le terrain serait de 25 à 30 km (ou le double sur route). L'utilisation d'alliages plus légers est envisagée, ce qui augmentera le rayon d’action. Il faut mentionner aussi la présence d'un frein moteur (utile en descente) et même de la récupération d'énergie électrique au freinage.
Pour en savoir plus, on lira ce compte-rendu détaillé
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