Profession : passionné d'électronique !
26 décembre 2020
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Parmi les forces en présence dans les transformations de notre monde, l’électronique n’est pas la moindre. On ne se lasse pas de constater ses prodiges, dans tous les domaines de l’activité humaine. C’est un mouvement d’une ampleur inouïe.
Nous y jouons tous un rôle, modeste pour la plupart d’entre nous, plus considérable pour certains (qui se reconnaîtront).
N’est-il pas étonnant de voir de l’intérieur cette technique en perpétuelle mutation ? Elle se renouvelle en combinant les savoir-faire les plus pointus jusqu’à l’échelle nanométrique et un bricolage joyeusement anarchique et artisanal. Jetez un coup d’œil au sommaire de n’importe lequel des numéros d’Elektor, et vous aurez un échantillon de ce bouillon de culture riche et fécond.
Peu importe notre statut exact, c’est déjà un progrès considérable que l’on ne nous oblige plus à choisir entre celui de maker et celui d’engineer (ˌendʒɪ'nɪəʳ), et que l’on ne nous pousse plus à faire semblant d’être l’un ou l’autre. Les frontières se sont estompées et les amateurs – ceux qui aiment – ont devant eux des perspectives de professionnalisation de leur passion. En voici un exemple. Rémy Mallard que nos lecteurs connaissent pour trois livres d’initiation très appréciés aussi bien au-delà du cercle d’Elektor. Rémy Mallard a le goût du partage chevillé à son âme de passionné d’électronique audio. Sur son site, il propose une enquête sur la professionnalisation de son activité que nous avons jugé très intéressante et à laquelle nous vous invitons à participer.
Comme l’abeille qui pollinise les fleurs en butinant, l’électronicien actif en naviguant sur internet féconde les sites qu’il visite.
Nous y jouons tous un rôle, modeste pour la plupart d’entre nous, plus considérable pour certains (qui se reconnaîtront).
N’est-il pas étonnant de voir de l’intérieur cette technique en perpétuelle mutation ? Elle se renouvelle en combinant les savoir-faire les plus pointus jusqu’à l’échelle nanométrique et un bricolage joyeusement anarchique et artisanal. Jetez un coup d’œil au sommaire de n’importe lequel des numéros d’Elektor, et vous aurez un échantillon de ce bouillon de culture riche et fécond.
Pour savoir, il faut comprendre. Et pour cela, il faut des passeurs.
Une des conditions de l‘utilité de cette richesse — car à quoi bon une richesse si elle n’est pas utile — est la connaissance: pour apprécier, il faut savoir. Pour savoir, il faut comprendre. Et pour cela, il faut des passeurs. Par exemple les auteurs qui avec Elektor partagent leur passion et leurs connaissances avec nos lecteurs, eux-mêmes bricoleurs diplômés ou ingénieurs en herbe.Peu importe notre statut exact, c’est déjà un progrès considérable que l’on ne nous oblige plus à choisir entre celui de maker et celui d’engineer (ˌendʒɪ'nɪəʳ), et que l’on ne nous pousse plus à faire semblant d’être l’un ou l’autre. Les frontières se sont estompées et les amateurs – ceux qui aiment – ont devant eux des perspectives de professionnalisation de leur passion. En voici un exemple. Rémy Mallard que nos lecteurs connaissent pour trois livres d’initiation très appréciés aussi bien au-delà du cercle d’Elektor. Rémy Mallard a le goût du partage chevillé à son âme de passionné d’électronique audio. Sur son site, il propose une enquête sur la professionnalisation de son activité que nous avons jugé très intéressante et à laquelle nous vous invitons à participer.
Comme l’abeille qui pollinise les fleurs en butinant, l’électronicien actif en naviguant sur internet féconde les sites qu’il visite.
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