Peau artificielle et panneau tactile
10 septembre 2015
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Certains trouvent trop voyants les montres tactiles et autres appareils portables, pour d’autres, leurs zones tactiles sont au contraire trop petites pour leurs doigts. Que diront-ils de cette peau artificielle qui transforme le bras (ou la jambe) en commande à distance ? C’est un morceau d’épiderme artificiel à base de caoutchouc silicone biocompatible et de silicium enrichi au carbone qui devient organe de commande pour des circuits électroniques.
Dans ces tatouages tactiles temporaires sont intégrés des capteurs sensibles à la pression, fixés à la peau par un adhésif de qualité médicale. Différentes formes et tailles de l’iSkin, créée par des chercheurs de l'Université de la Sarre, à Sarrebruck, en Allemagne et de l'Institut Max-Planck d'informatique, permettent de l’adapter à la partie du corps choisie. Les utilisateurs peuvent imprimer leurs propres pièces personnalisées d’iSkin, selon la fonction à remplir et en adéquation avec leur sens pratique (et leurs goûts).
En attendant la mise en œuvre prochaine de puces spécialisées dans la communication sans fil, les prototypes actuels nécessitent encore une connexion filaire. Un système de récupération d'énergie devrait aussi permettre un jour d’alimenter les capteurs par la chaleur et/ou les mouvements du corps de l'utilisateur. Pour prometteuse qu’elle soit, l’iSkin n’est pas encore mûre pour quitter le laboratoire.
Dans ces tatouages tactiles temporaires sont intégrés des capteurs sensibles à la pression, fixés à la peau par un adhésif de qualité médicale. Différentes formes et tailles de l’iSkin, créée par des chercheurs de l'Université de la Sarre, à Sarrebruck, en Allemagne et de l'Institut Max-Planck d'informatique, permettent de l’adapter à la partie du corps choisie. Les utilisateurs peuvent imprimer leurs propres pièces personnalisées d’iSkin, selon la fonction à remplir et en adéquation avec leur sens pratique (et leurs goûts).
En attendant la mise en œuvre prochaine de puces spécialisées dans la communication sans fil, les prototypes actuels nécessitent encore une connexion filaire. Un système de récupération d'énergie devrait aussi permettre un jour d’alimenter les capteurs par la chaleur et/ou les mouvements du corps de l'utilisateur. Pour prometteuse qu’elle soit, l’iSkin n’est pas encore mûre pour quitter le laboratoire.
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