Banc d'essai : kit démo Otii Arc — qui vide ma batterie ?
Port d'extension
Le port d'extension Otii Arc permet différents protocoles de mesure. Par ex., vous pouvez mesurer en deux points distincts de votre appareil en même temps. Branchez les + et - principaux de l'Otii Arc sur le connecteur de la batterie de votre appareil pour les mesures globales. Et pour les mesures partielles, branchez une résistance externe de mesure sur le port d'extension ADC+ et ADC- et reliez-la aux points de mesure d'un sous-ensemble. Les journaux d'analyse peuvent être extraits via l'UART (rapide) pour synchronisation avec les mesures énergétiques.
Exposez votre problème !
Partager les données d'un problème produit une réaction en chaîne. Donnez à un ingénieur une énigme et il va la résoudre (comme Thomas l'a fait) — la communauté Otii est relativement récente, mais il y a toujours une assistance efficace et du savoir-faire technique sur le forum. Pour les débutants comme moi, l'Otii Arc met en avant un bon nombre de cas d'utilisateurs pour lesquels des kits et produits d'autres fournisseurs ont été passés au crible en termes de consommation d'énergie. C'est utile et indolore. Ces informations sont publiées sous forme de blogs et vidéos sur le site de Qoitech, dont un blog en deux parties sur les secrets du courant consommé par le kit Cypress PSoC6 BLE Pioneer. Il y a aussi une vidéo sur le smartphone Samsung S7 — cela ne bouscule pas ce que nous savions, mais révèle beaucoup de choses intéressantes !
Le port d'extension Otii Arc permet différents protocoles de mesure. Par ex., vous pouvez mesurer en deux points distincts de votre appareil en même temps. Branchez les + et - principaux de l'Otii Arc sur le connecteur de la batterie de votre appareil pour les mesures globales. Et pour les mesures partielles, branchez une résistance externe de mesure sur le port d'extension ADC+ et ADC- et reliez-la aux points de mesure d'un sous-ensemble. Les journaux d'analyse peuvent être extraits via l'UART (rapide) pour synchronisation avec les mesures énergétiques.
Les graphiques sont instructifs !
En exploitant la vue statistique proposée par l'interface utilisateur, les commandes de défilement et de zoom, et les outils de sélection pour vérifier les consommations à un instant donné ou à intervalle régulier, vous apprendrez beaucoup de choses. Les journaux d'analyse sont automatiquement synchronisés avec la sélection sur le graphique de consommation, ce qui facilite beaucoup la recherche de ce qui tire sur votre batterie. Si vous travaillez en équipe, le travail collaboratif sur les mesures et leur partage devrait être facilité. Bien que je ne l'aie pas testé, je suppose qu'il faut commencer par choisir les données à partager en extrayant les enregistrements individuels et en les recadrant dans la fenêtre de temps souhaitée. Ensuite, il faut enregistrer le projet et le partager avec vos co-équipiers, fournisseurs ou clients. Je n'ai pas vu de mention d'un environnement de type nuage, je suppose donc que les données sont communiquées de manière classique. Les données peuvent être ouvertes avec toutes les versions du logiciel Otii, y compris le visualisateur gratuit que j'ai reçu pour ce banc d'essai.Exposez votre problème !
Partager les données d'un problème produit une réaction en chaîne. Donnez à un ingénieur une énigme et il va la résoudre (comme Thomas l'a fait) — la communauté Otii est relativement récente, mais il y a toujours une assistance efficace et du savoir-faire technique sur le forum. Pour les débutants comme moi, l'Otii Arc met en avant un bon nombre de cas d'utilisateurs pour lesquels des kits et produits d'autres fournisseurs ont été passés au crible en termes de consommation d'énergie. C'est utile et indolore. Ces informations sont publiées sous forme de blogs et vidéos sur le site de Qoitech, dont un blog en deux parties sur les secrets du courant consommé par le kit Cypress PSoC6 BLE Pioneer. Il y a aussi une vidéo sur le smartphone Samsung S7 — cela ne bouscule pas ce que nous savions, mais révèle beaucoup de choses intéressantes !
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Au sujet de Jan Buiting
Jan Buiting (1958) touche à l’électronique sous ses formes les plus diverses depuis l’âge de 15 ans. Du côté des études, Jan a décroché jusqu’à présent une licence de radioamateur en classe F, une maîtrise de langue anglaise, un Tek Guru award, et différents c... >>
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