Dans le numéro de novembre 2010, Léo Szumylowycz présentait un circuit qui imite la lumière du faisceau rotatif d’un phare [1]. Le circuit n’utilisait que des composants analogiques, comme le légendaire temporisateur 555 et l’ampli-op LM358, et il fonctionnait à merveille. Seul inconvénient : 29 composants… Avec un microcontrôleur ATtiny45, il n’en faut plus que huit, alors que le nombre de paramètres réglables augmente !
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