Avant, quand on voulait graver soi-même son circuit imprimé, c'était une débauche de produits chimiques. Il fallait d'abord transférer le dessin du circuit sur un film transparent puis sur la carte par une technique photographique : insolation-développement-gravure. Et la gravure du cuivre, toujours chimique, était synonyme de taches et de mauvaises odeurs. Ça pourrait bien changer : la Voltera V-One imprime les pistes, applique la pâte à souder et peut même souder les composants selon un procédé par refusion.
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