Dès le premier coup d’œil sur ces deux boîtes noires (voyez la photo d’en-tête), je l’ai compris tout de suite : voilà des objets de qualité, il faut les conserver. Avec quelques collègues, je déambulais dans l’immeuble déjà presque vide. Qui trouvait quelque chose à son goût pouvait l’emporter, sinon c’était voué au conteneur. Un sort que ces boîtes ne devaient résolument pas connaître, j’en étais convaincu. Pourtant, je ne savais même pas de quoi il s’agissait.
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