FPGA : le retour

Les FPGA (Field Programmable Gate Array c’est-à-dire réseau de portes logiques programmables de l’extérieur) n’ont cessé d’évoluer sur le plan des performances et de la versatilité. L’histoire se répète ici avec une nouvelle génération d’outils qui mettent à la disposition du plus grand nombre une technique auparavant réservée à une élite. Après l’apparition des microprocesseurs dans le milieu des années 1970, les années passaient mais les circuits de la majorité des appareils restaient analogiques, couplés à de la logique discrète TTL ou CMOS. C’est l’outil qui prime. La plupart des développeurs, certes informés de l’importance de la nouveauté que représentaient les microcontrôleurs, constataient qu’il leur était impossible de s’y mettre au pied levé. Il leur fallait désormais penser les problèmes et leurs solutions en termes de programmes (et non plus en tant que circuits), acquérir la maîtrise d’un langage (les codes hexadécimaux) et se procurer les outils associés (les consoles de développement).

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