C’est quelque part au tout début des années 80 que s’est manifestée la propension à ajouter des effets lumineux et un personnage appelé « disc jockey » dans les surboums qui, jusque là, consistaient surtout à boire, rencontrer des copains et s’inonder les oreilles de musique à tout casser. Le « Disco » était là et avec lui une ambiance déjantée, pas uniquement à coup de boîtes à rythme ou de synthés électroniques, mais aussi de vêtements brillants pour toutes catégories de jeunes, d’habitude de moins de vingt ans.
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