On définit pour un relais une tension de travail et une tension de repos. Cette dernière se situe, selon le modèle, entre 10 et 50 % sous la tension de travail. Profitant de cet écart, on peut envisager, après avoir appliqué une tension suffisante pour l’excitation fiable du relais, de l’abaisser vers la tension de repos pour réduire la consommation de travail. Voici un circuit simple capable de satisfaire à ces deux exigences. Il se compose d’une LED, d’un condensateur électrolytique et d’une résistance en parallèle, le tout mis en série avec le relais.
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