Article
Composants bidon
Ouvrons l'œil
La contrefaçon d'articles de luxe peut rapporter gros. On trouve à prix dérisoire des tas de choses qui ressemblent fort à des originaux, depuis les T-shirts jusqu'aux montres, en provenance de l'Asie, la plupart du temps. Vus de l'extérieur, ils se distinguent à peine des vrais, mais à l'autopsie, c'est purement de la camelote. Les derniers temps, ce sont des pièces d'électronique qui sont visées. Si jamais vous en soudez dans votre montage, vous voilà exposé à de vilaines surprises!
La contrefaçon d'articles de marque, rien de neuf. Qui n'a entendu l'histoire de cette « vraie » montre Rolex en vente sur la plage pour 10 euros. Trop beau pour être vrai... Mais les fabricants véreux et les petits filous ne se limitent plus à l'habillement, aux montres ou aux sacs renommés. Cette industrie de la copie illégale se sert à présent de tout ce qui peut produire de l'argent facile.
Se faire rouler n'est qu'un demi-mal, si la sécurité n'est pas en cause. Mais quand il s'agit de pièces de rechange pour l'aviation, ce qu'Angles et Saxons nomment« bogus-parts », la question devient vraiment sérieuse. Les composants d'aéronautique doivent répondre à quantité d'exigences précises, ce qui les rend d'autant plus onéreux. Un marché juteux pour les faussaires, qui refont du neuf avec du vieux ou maquillent les immatriculations pour forcer le prix. Sur avion, ces pièces peuvent évidemment causer de graves ennuis. Les experts attribuent différents accidents survenus au cours des dernières années à ce genre de rechanges clandestins.
De nombreux domaines sont touchés par le phénomène: habillement, horlogerie, billets de banque, médicaments, alimentation, jeux, lunettes, pièces de voiture, logiciels, composants électroniques...
La contrefaçon d'articles de marque, rien de neuf. Qui n'a entendu l'histoire de cette « vraie » montre Rolex en vente sur la plage pour 10 euros. Trop beau pour être vrai... Mais les fabricants véreux et les petits filous ne se limitent plus à l'habillement, aux montres ou aux sacs renommés. Cette industrie de la copie illégale se sert à présent de tout ce qui peut produire de l'argent facile.
Se faire rouler n'est qu'un demi-mal, si la sécurité n'est pas en cause. Mais quand il s'agit de pièces de rechange pour l'aviation, ce qu'Angles et Saxons nomment« bogus-parts », la question devient vraiment sérieuse. Les composants d'aéronautique doivent répondre à quantité d'exigences précises, ce qui les rend d'autant plus onéreux. Un marché juteux pour les faussaires, qui refont du neuf avec du vieux ou maquillent les immatriculations pour forcer le prix. Sur avion, ces pièces peuvent évidemment causer de graves ennuis. Les experts attribuent différents accidents survenus au cours des dernières années à ce genre de rechanges clandestins.
De nombreux domaines sont touchés par le phénomène: habillement, horlogerie, billets de banque, médicaments, alimentation, jeux, lunettes, pièces de voiture, logiciels, composants électroniques...
Le téléchargement de ce magazine est réservé aux visiteurs enregistrés.
Identification | Inscrivez-vous maintenant !
Discussion (0 commentaire(s))