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Modules E-blocks
Un Meccano pour (grands) électroniciens
Souvent, nos lecteurs regrettent d’avoir trop peu de temps pour assembler et souder leurs projets de construction. Ils nous disent aussi que les platines de microcontrôleurs proposées par Elektor sont trop compliquées, qu’il faudrait presque des génies pour les programmer. Il est malaisé, en effet, de présenter la technique moderne de manière à ce que chacun s’y sente à l’aise. Mais la ténacité finit toujours par gagner ! Découvrez avec nous les facultés méconnues des
E-blocks…
Il y a quelque temps, la rédaction faisait la connaissance des E-blocks. Nous avons longuement hésité sur l’attitude à adopter à leur égard. Certains les trouvaient nuls, d’autres y voyaient une perspective fantastique. Avec le temps, la balance a penché en leur faveur. À vrai dire, ni les concepteurs ni les rédacteurs n’ont pu résister à l’attrait de ces modules qui vont si bien ensemble.
D’où provenaient les réticences ? Du fait que le matériel était proposé prêt à l’emploi, qu’il ne restait rien à souder ? Ou parce qu’il n’y avait finalement plus qu’à le programmer ?
Nous n’en savons toujours rien. Quoi qu’il en soit, nous avons choisi de vous laisser le soin de décider, parce qu’une chose est évidente : les E-blocks sont drôlement pratiques quand il faut développer vite un projet et précisément sans avoir à tout souder. Vous construisez votre prototype à l’aide d’une poignée d’E-blocks, vous testez le projet et puis, s’il vous satisfait, vous mettez en chantier votre propre platine.
Mais de quoi s’agit-il au juste ? Les E-blocks sont des assemblages de matériel grâce auxquels on peut réaliser un système à microcontrôleur sans peine et sans délai.
Outre diverses platines à microcontrôleur, le fabricant Matrix Multimedia compte à son catalogue un grand nombre de ces E-blocks spécialisés. On y trouve par exemple des cartes d’entrée et de sortie ainsi des combinaisons d’E/S. Mais il y a surtout une vaste gamme de capteurs tout prêts à s'associer aux autres E-blocks.
E-blocks…
Il y a quelque temps, la rédaction faisait la connaissance des E-blocks. Nous avons longuement hésité sur l’attitude à adopter à leur égard. Certains les trouvaient nuls, d’autres y voyaient une perspective fantastique. Avec le temps, la balance a penché en leur faveur. À vrai dire, ni les concepteurs ni les rédacteurs n’ont pu résister à l’attrait de ces modules qui vont si bien ensemble.
D’où provenaient les réticences ? Du fait que le matériel était proposé prêt à l’emploi, qu’il ne restait rien à souder ? Ou parce qu’il n’y avait finalement plus qu’à le programmer ?
Nous n’en savons toujours rien. Quoi qu’il en soit, nous avons choisi de vous laisser le soin de décider, parce qu’une chose est évidente : les E-blocks sont drôlement pratiques quand il faut développer vite un projet et précisément sans avoir à tout souder. Vous construisez votre prototype à l’aide d’une poignée d’E-blocks, vous testez le projet et puis, s’il vous satisfait, vous mettez en chantier votre propre platine.
Mais de quoi s’agit-il au juste ? Les E-blocks sont des assemblages de matériel grâce auxquels on peut réaliser un système à microcontrôleur sans peine et sans délai.
Outre diverses platines à microcontrôleur, le fabricant Matrix Multimedia compte à son catalogue un grand nombre de ces E-blocks spécialisés. On y trouve par exemple des cartes d’entrée et de sortie ainsi des combinaisons d’E/S. Mais il y a surtout une vaste gamme de capteurs tout prêts à s'associer aux autres E-blocks.
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