Avec leur complexité et vitesse croissantes, les puces micro se trouvent confrontées à elles-mêmes. Il faut trouver de nouveaux matériaux et processus. Cela peut sembler un paradoxe : bien que les transistors constituant les puces deviennent de plus en plus petits au point de ne plus être visibles avec les meilleurs microscopes optiques qui soient, les durées de transfert électriques sur les puces ne cessent de croître. Il existe 2 raisons à cela : les puces deviennent de plus en plus complexes –le nombre et la longueur des liaisons augmentent– et de plus en plus rapides (fréquences de transfert et d’horloge plus élevées). Au-delà de 2 GHz (longueur d’onde de 15 cm environ) les différences de durées de transfert et la diaphonie augmentent rapidement, constituant un défi pour le physicien des matériaux et le concepteur de puce. Comment se sortir de cette situation délicate ?
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