Dans leur quête à la recherche de techniques d’affichage de textes originales, avec effet « tape-à-l’oeil » (eyecatcher) les fabricants ont l’imagination fertile, ne cessant de trouver de nouvelles variantes intéressantes de manière à disposer d’un maximum de fonctions au meilleur coût.Les journaux lumineux classiques utilisent, comme affichage, une ou plusieurs matrices d’affichage, de dimensions plus ou moins importantes, qu’il s’agisse de LED ou d’autres dispositifs optiques de visualisation. Un exemple : « écriture lumineuse par clavier de PC » (Elektor n°260, février 2000, page X-12 et suivantes) ne comporte pas moins de 7 x 35, soit 245 LED pour visualiser simultanément un maximum de 6 caractères. De manière à éviter que la consommation de courant, la complexité du câblage et le coût en composants ne sortent des limites économiquement acceptables, la quasi-totalité des journaux lumineux utilisant des LED font appel, pour leur pilotage, à un mode de multiplexage.
Le téléchargement de ce magazine est réservé aux visiteurs enregistrés.
Veuillez saisir votre adresse électronique. Les instructions de réinitialisation de votre mot de passe vous seront immédiatement envoyées par courriel.
Discussion (0 commentaire(s))