Seiko, l’un des fabricants de montres les plus connus, a, récemment, introduit une nouvelle génération de montres dotées de la dénomination cryptique de « kinetic auto-relay »; renseignement pris, il nous semble qu’une description de leur construction pourrait intéresser les amateurs d’électronique que sont nos lecteurs.À y regarder de près, on se trouve, en fait, en présence d’un produit à la technologie si avancée, que le fait qu’elle reste parfaitement à l’heure pourrait presque sembler secondaire, encore que ce soit en fait là le but premier d’une montre....Qu’ont les montres et l’électronique de commun ? Par le passé, pratiquement rien, mais aujourd’hui de plus en plus de choses. Dire que les frontières entre les différentes disciplines deviennent, en raison de la numérisation et de l’intégration d’éléments électroniques, de plus en plus floues, consiste, en fait, à enfoncer une porte ouverte. Un appareil photo numérique, par exemple, se trouve très éloigné de ses racines d’origine purement opto-mécaniques. Il ne s’agit plus, depuis belle lurette, d’un appareil mécanique mais plutôt d’un « mini-ordinateur à interface optique ».
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