La poule aux oeufs d'or chantera-t-elle «cocorico» ?
2015 a vu l’apparition du chantier d’un gigantesque poulailler (encore virtuel) où il n’y aurait que des poules aux œufs d’or… !’Internet des Objets. Le nombre d’objets connectés va certes s’envoler et avec lui le marché de tout ce qui touche à l’IoT. Mais comme personne n’a jamais vu de poule voler bien loin, surtout si elle doit pondre de l’or, la grande question reste : quel sera le standard de ce monde que tous appellent de leurs vœux mais dont personne ne sait à quoi il ressemblera ?
2015 a vu l’apparition du chantier d’un gigantesque poulailler (encore virtuel) où il n’y aurait que des poules aux œufs d’or… !’Internet des Objets.
Le nombre d’objets connectés va certes s’envoler et avec lui le marché de tout ce qui touche à l’IoT. Mais comme personne n’a jamais vu de poule voler bien loin, surtout si elle doit pondre de l’or, la grande question reste : quel sera le standard de ce monde que tous appellent de leurs vœux mais dont personne ne sait à quoi il ressemblera ?
Voilà que des industriels français lancent, avec le soutien du gouvernement, un projet de plate-forme unifiée, qui doit réduire significativement les coûts du développement de nouvelles applications et d’objets connectés. Sous le logo S3P, pour Smart, Safe & Secure Platform, un consortium réunit des leaders de l’industrie et des services, actifs dans le domaine des objets et des systèmes connectés. Celui-ci lance une plate-forme S3P qui doit permettre le développement et l’exploitation commerciale rapide de services et de produits connectés à l’IoT, afin d’en assurer la sûreté de fonctionnement, la cyber-sécurité, l’inter-opérabilité et la portabilité. Cette plate-forme est soutenue par un investissement de 45 M€.
Ce consortium lance également l’alliance S3P appelée à développer ce nouvel écosystème au plan national et international et permettre son adoption par d’autres leaders de l’industrie et des services.
Cette initiative française répond à un besoin aussi évident qu’universellement impérieux. Il est cependant difficile d’imaginer un développement national (français) pérenne de l’internet des objets s’il n’est pas rigoureusement en phase avec l’internet des objets hors de l’hexagone.
Le nombre d’objets connectés va certes s’envoler et avec lui le marché de tout ce qui touche à l’IoT. Mais comme personne n’a jamais vu de poule voler bien loin, surtout si elle doit pondre de l’or, la grande question reste : quel sera le standard de ce monde que tous appellent de leurs vœux mais dont personne ne sait à quoi il ressemblera ?
Voilà que des industriels français lancent, avec le soutien du gouvernement, un projet de plate-forme unifiée, qui doit réduire significativement les coûts du développement de nouvelles applications et d’objets connectés. Sous le logo S3P, pour Smart, Safe & Secure Platform, un consortium réunit des leaders de l’industrie et des services, actifs dans le domaine des objets et des systèmes connectés. Celui-ci lance une plate-forme S3P qui doit permettre le développement et l’exploitation commerciale rapide de services et de produits connectés à l’IoT, afin d’en assurer la sûreté de fonctionnement, la cyber-sécurité, l’inter-opérabilité et la portabilité. Cette plate-forme est soutenue par un investissement de 45 M€.
Ce consortium lance également l’alliance S3P appelée à développer ce nouvel écosystème au plan national et international et permettre son adoption par d’autres leaders de l’industrie et des services.
Cette initiative française répond à un besoin aussi évident qu’universellement impérieux. Il est cependant difficile d’imaginer un développement national (français) pérenne de l’internet des objets s’il n’est pas rigoureusement en phase avec l’internet des objets hors de l’hexagone.