Devinette : qu’est-ce qui menace le plus l’IdO ?
Scribonius Largus, le médecin personnel de l’empereur Claude, préconisait l’application d’une raie électrique sur le front pour soulager les maux de tête. Deux millénaires plus tard, pour soulager l’électronicien des migraines que pourrait lui causer la recherche d’une protection anti-décharge électrostatique, le docteur Elektorus vous conseille un petit utilitaire beaucoup plus facile à pêcher.
La réponse est dans l’image : il s’agit des décharges électrostatiques (DES, ESD en anglais), dont la manifestation la plus visible est la petite étincelle qui jaillit lorsque vous quittez votre fauteuil et touchez par exemple votre smartphone. Inoffensives pour nous, les DES menacent l’intégrité et la fiabilité des dispositifs de l’Internet des Objets. Lorsque la charge se répartit à la surface d’un dispositif, certains ou la plupart des porteurs de charge peuvent se frayer un chemin à travers un connecteur (ou une autre interface) et atteindre la sensible circuiterie interne.
Pour prévenir et combattre les effets des DES, il faut d’abord en comprendre la nature, donc modéliser le corps humain. Le modèle appelé Human Body Model représente notre corps comme un condensateur de 100 pF se déchargeant à travers une résistance de 1,5 MΩ. Les tensions utilisées dans les essais d’immunité aux décharges électrostatiques vont typiquement de 500 V à 1000 V. Les essais sont réalisés sur des circuits intégrés. La norme CEI 61000-4-2 dit qu’en aucun cas il ne faut décharger un condensateur de 150 pF à travers une résistance de 330 Ω en utilisant des sources de tension de 8 kV (contact) à 15 kV (air). Les normes ISO 10605 et DO 160 section 25 utilisent d’autres définitions pour modéliser ces brèves mais désastreuses surintensités transitoires.
Quelles que soient la méthode d’essai et les « déviations résistives » utilisées, les structures anti-DES intégrées doivent être capables de traiter l’énergie restante et protéger le CI cœur. L’utilitaire de simulation et de sélection ESD Suppression Selection Tool de Littelfuse détermine la solution anti-ESD la mieux adaptée à une application donnée. L’outil prend en compte les paramètres essentiels du CI ainsi que les caractéristiques des composants de la protection anti-DES. Un outil qui fait des étincelles !
Pour prévenir et combattre les effets des DES, il faut d’abord en comprendre la nature, donc modéliser le corps humain. Le modèle appelé Human Body Model représente notre corps comme un condensateur de 100 pF se déchargeant à travers une résistance de 1,5 MΩ. Les tensions utilisées dans les essais d’immunité aux décharges électrostatiques vont typiquement de 500 V à 1000 V. Les essais sont réalisés sur des circuits intégrés. La norme CEI 61000-4-2 dit qu’en aucun cas il ne faut décharger un condensateur de 150 pF à travers une résistance de 330 Ω en utilisant des sources de tension de 8 kV (contact) à 15 kV (air). Les normes ISO 10605 et DO 160 section 25 utilisent d’autres définitions pour modéliser ces brèves mais désastreuses surintensités transitoires.
Quelles que soient la méthode d’essai et les « déviations résistives » utilisées, les structures anti-DES intégrées doivent être capables de traiter l’énergie restante et protéger le CI cœur. L’utilitaire de simulation et de sélection ESD Suppression Selection Tool de Littelfuse détermine la solution anti-ESD la mieux adaptée à une application donnée. L’outil prend en compte les paramètres essentiels du CI ainsi que les caractéristiques des composants de la protection anti-DES. Un outil qui fait des étincelles !