Impression au jet d'encre photovoltaïque de texte et de photos.
Des recherches sont en cours à l’université Aalto en Finlande pour la mise au point d’un procédé d’impression à jet d’encre de textes, de photos ou d’illustrations quelconques sur des cellules solaires. L’idée n’est pas neuve mais les chercheurs impliqués souhaitent explorer des pistes nouvelles qui permettraient d’utiliser des matériaux classiques.
Des recherches sont en cours à l’université Aalto en Finlande pour la mise au point d’un procédé d’impression à jet d’encre de textes, de photos ou d’illustrations quelconques sur des cellules solaires. L’idée n’est pas neuve mais les chercheurs impliqués souhaitent explorer des pistes nouvelles qui permettraient d’utiliser des matériaux classiques. Selon Janne Halme « le défi à relever est la mise au point de solvants à la fois photovoltaïques et propres à une ’impression de qualité ».
La lumière absorbée par les encres ordinaires est transformée en chaleur ; une encre photovoltaïque en fait de l'électricité. Plus la couleur de l'encre est sombre, plus son rendement est élevé. Pour l'instant, c'est donc le noir qui l'emporte.
L’avantage de tels panneaux solaires décoratifs (et éventuellement polychromes) serait d’offrir un spectacle moins austère que celui des panneaux actuels. En rendant les panneaux plus attrayants, des motifs graphiques pourraient en faciliter l’incorporation harmonieuse dans un environnement habité.
Toute surface pourrait théoriquement devenir à la fois support d’une image d’une image et/ou de texte, et servir de panneau photovoltaïque.
Les premiers essais paraissent encourageants. Le rendement obtenu avec des cellules photovoltaïques imprimées expérimentales est prometteur. Selon Ghufran Hashmi, post-doctorant en physique, le test des 1000 premières heures d’exposition intensive à la chaleur et à la lumière, mené à l’EPFL de Lausanne où il était chercheur invité, s’est bien déroulé.
Si vous souhaitez en apprendre davantage sur la nature des substances employées, lisez la publication scientifique Dye-sensitized solar cells with inkjet-printed dyes.
La lumière absorbée par les encres ordinaires est transformée en chaleur ; une encre photovoltaïque en fait de l'électricité. Plus la couleur de l'encre est sombre, plus son rendement est élevé. Pour l'instant, c'est donc le noir qui l'emporte.
L’avantage de tels panneaux solaires décoratifs (et éventuellement polychromes) serait d’offrir un spectacle moins austère que celui des panneaux actuels. En rendant les panneaux plus attrayants, des motifs graphiques pourraient en faciliter l’incorporation harmonieuse dans un environnement habité.
Toute surface pourrait théoriquement devenir à la fois support d’une image d’une image et/ou de texte, et servir de panneau photovoltaïque.
Les premiers essais paraissent encourageants. Le rendement obtenu avec des cellules photovoltaïques imprimées expérimentales est prometteur. Selon Ghufran Hashmi, post-doctorant en physique, le test des 1000 premières heures d’exposition intensive à la chaleur et à la lumière, mené à l’EPFL de Lausanne où il était chercheur invité, s’est bien déroulé.
Si vous souhaitez en apprendre davantage sur la nature des substances employées, lisez la publication scientifique Dye-sensitized solar cells with inkjet-printed dyes.