Capteur de gaz numérique
Vous souvenez-vous du détecteur de gaz Figaro ? C'est loin, oui... Comme il se doit, aujourd’hui, on assemble directement un microcontrôleur et un capteur de gaz pour former un composant numérique, facile à mettre en oeuvre et à très faible consommation, comme le nouveau CCS811, proposé par CCS (Cambridge CMOS Sensors). Leur capteur à interface numérique est sensible entre autres aux composés organiques volatiles (VOC), à l’éthanol (alcohol) et au monoxide de carbone (CO).
Parmi les lecteurs les plus fidèles d’Elektor certains se souviennent sans doute d’un circuit qui avait obtenu un succès aussi phénoménal qu’inattendu ; son composant principal portait le nom fort improbable de Figaro et c’était, oui votre mémoire fonctionne encore, un détecteur de gaz. Cela date du siècle dernier, or la technique a bien changé depuis.
Comme il se doit aujourd’hui, on assemble directement un microcontrôleur et un capteur de gaz pour former un composant numérique, facile à mettre en oeuvre et à très faible consommation, comme le nouveau CCS811, proposé par CCS (Cambridge CMOS Sensors). Leur capteur à interface numérique est sensible entre autres aux composés organiques volatiles (VOC), à l’éthanol (alcohol) et au monoxide de carbone (CO). Sa consommation moyenne en service est inférieure à 1,2 mW et en veille elle n’est plus que de 6 µW !
Pour l’instant, CCS ne donne guère d’informations sur le µC utilisé. Les autres composantes sont un convertisseur A/N et une interface I²C. Le boîtier LGA fait 2,7x4mm seulement.
Les applications visées sont l’intégration dans des appareils portables grand public : bornes de contrôle de qualité, station météo domotique, mais aussi téléphone tactile et même l’électronique portable (wearable) qui est en plein développement.
Comme il se doit aujourd’hui, on assemble directement un microcontrôleur et un capteur de gaz pour former un composant numérique, facile à mettre en oeuvre et à très faible consommation, comme le nouveau CCS811, proposé par CCS (Cambridge CMOS Sensors). Leur capteur à interface numérique est sensible entre autres aux composés organiques volatiles (VOC), à l’éthanol (alcohol) et au monoxide de carbone (CO). Sa consommation moyenne en service est inférieure à 1,2 mW et en veille elle n’est plus que de 6 µW !
Pour l’instant, CCS ne donne guère d’informations sur le µC utilisé. Les autres composantes sont un convertisseur A/N et une interface I²C. Le boîtier LGA fait 2,7x4mm seulement.
Les applications visées sont l’intégration dans des appareils portables grand public : bornes de contrôle de qualité, station météo domotique, mais aussi téléphone tactile et même l’électronique portable (wearable) qui est en plein développement.