Bus sans chauffeur
On nous a beaucoup parlé de Grèce, ces derniers temps, mais saviez-vous que depuis cet été, des bus sans conducteur sont testés (sans passagers) à Trikala, une ville grecque de 80 000 habitants ? Récemment des usagers ont pu commencer à utiliser (gratuitement) ces bus pour leurs déplacements. La sécurité des passagers n’aurait rien à envier à celle de bus chauffés.
On nous a beaucoup parlé de Grèce, ces derniers temps, mais saviez-vous que depuis cet été, des bus sans conducteur sont testés (sans passagers) à Trikala, une ville grecque de 80 000 habitants ? Récemment des usagers ont pu commencer à utiliser (gratuitement) ces bus pour leurs déplacements. La sécurité des passagers n’aurait rien à envier à celle de bus chauffés.
Construits par le français Robosoft, ces bus de 5 m de long pour 1,5 m de large transportent jusqu'à 10 personnes. Les véhicules sont équipés d'un GPS de pointe et d’un système de cartographie laser pour la localisation et le contrôle des déplacements. Laser et ultrasons sont utilisés pour détecter des obstacles. Chaque bus est alimenté par douze batteries, dont la recharge nécessite environ deux heures. Les bus vont parcourir un trajet circulaire de 2,4 kilomètres sur une seule voie, toutefois partagée avec les voitures, les cyclistes et les cyclomoteurs. Si le bus rencontre un obstacle, il va attendre que celui-ci se déplace pour reprendre sa route. En cas de problème, un conducteur autorisé est envoyé pour déplacer le bus.
De nouvelles lois ont dû être adoptées pour permettre la mise en place du projet. La vitesse maximale autorisée est d'environ 19 km/h. Même si d'autres usagers peuvent s’insérer dans leur voie, les bus ne sont pas autorisés à en changer ou à négocier des virages. Ce programme fait partie du projet CityMobil2, financé par l'Union Européenne, dont le but est de développer des projets de transport en commun dans les villes de taille moyenne. Cette phase du test à Trikala va durer jusqu'en mars 2016, après quoi la phase d'évaluation commencera.
Construits par le français Robosoft, ces bus de 5 m de long pour 1,5 m de large transportent jusqu'à 10 personnes. Les véhicules sont équipés d'un GPS de pointe et d’un système de cartographie laser pour la localisation et le contrôle des déplacements. Laser et ultrasons sont utilisés pour détecter des obstacles. Chaque bus est alimenté par douze batteries, dont la recharge nécessite environ deux heures. Les bus vont parcourir un trajet circulaire de 2,4 kilomètres sur une seule voie, toutefois partagée avec les voitures, les cyclistes et les cyclomoteurs. Si le bus rencontre un obstacle, il va attendre que celui-ci se déplace pour reprendre sa route. En cas de problème, un conducteur autorisé est envoyé pour déplacer le bus.
De nouvelles lois ont dû être adoptées pour permettre la mise en place du projet. La vitesse maximale autorisée est d'environ 19 km/h. Même si d'autres usagers peuvent s’insérer dans leur voie, les bus ne sont pas autorisés à en changer ou à négocier des virages. Ce programme fait partie du projet CityMobil2, financé par l'Union Européenne, dont le but est de développer des projets de transport en commun dans les villes de taille moyenne. Cette phase du test à Trikala va durer jusqu'en mars 2016, après quoi la phase d'évaluation commencera.