Bienvenue à bord de cet Airbus assemblé par des robots humanoïdes
Le groupe Innovations d’Airbus (AGI), le CNRS et l’Institut national japonais de la science et des technologies industrielles avancées (AIST) ont lancé un programme de recherche en robotique. Leur objectif commun : concevoir des robots de fabrication humanoïdes. Nous voici soulagés, il ne s’agit pas de mettre des robots aux commandes d’un Airbus.
Le groupe Innovations d’Airbus (AGI), le CNRS et l’Institut national japonais de la Science et des Technologies Industrielles Avancées (AIST) ont lancé un programme de recherche en robotique. Leur objectif commun : concevoir des robots de fabrication humanoïdes. Nous voici soulagés, il ne s’agit pas de mettre des robots aux commandes d’un Airbus.
Le groupe AGI estime que l’ajout d’une forme humanoïde aux robots améliorera leur polyvalence et leur dextérité, et que cette forme androïde les rendra adaptés à de nombreuses tâches réalisables dans des environnements variés, sans qu’il soit nécessaire de modifier en profondeur les procédés de fabrication conçus à l’origine pour les humains. Les ingénieurs d’AGI pensent également qu’une robotique humanoïde durable passera par la conception d’algorithmes donnant aux robots l’équivalent de notre coordination œil-main, afin que ceux-ci puissent travailler dans des espaces confinés et difficiles d’accès.
La majorité des recherches se fera au laboratoire franco-japonais de robotique JRL (CNRS/AIST) inauguré en 2004 sur un technopôle de Tsukuba, au Japon.
Le projet sera supervisé par un comité scientifique composé de membres d’AGI, du CNRS et de l’AIST, ainsi que par un comité directeur réunissant des représentants des trois partenaires, des membres du ministère japonais de l’Économie, du Commerce et de l’Industrie, et des membres de la Société Japonaise pour la Promotion des Sciences. Tous humains. [HM]
Le groupe AGI estime que l’ajout d’une forme humanoïde aux robots améliorera leur polyvalence et leur dextérité, et que cette forme androïde les rendra adaptés à de nombreuses tâches réalisables dans des environnements variés, sans qu’il soit nécessaire de modifier en profondeur les procédés de fabrication conçus à l’origine pour les humains. Les ingénieurs d’AGI pensent également qu’une robotique humanoïde durable passera par la conception d’algorithmes donnant aux robots l’équivalent de notre coordination œil-main, afin que ceux-ci puissent travailler dans des espaces confinés et difficiles d’accès.
La majorité des recherches se fera au laboratoire franco-japonais de robotique JRL (CNRS/AIST) inauguré en 2004 sur un technopôle de Tsukuba, au Japon.
Le projet sera supervisé par un comité scientifique composé de membres d’AGI, du CNRS et de l’AIST, ainsi que par un comité directeur réunissant des représentants des trois partenaires, des membres du ministère japonais de l’Économie, du Commerce et de l’Industrie, et des membres de la Société Japonaise pour la Promotion des Sciences. Tous humains. [HM]